Et voilà, à force de me moquer de mes petits camarades juillet-tristes, il semblerait que des puissances supérieures se soient liguées contre moi ...
Résultat des courses : un temps tout pourri dégueulasse depuis hier. C'est bien simple, j'ai l'impression d'avoir fait un saut spatio-temporel et d'être revenue à Paris en juillet. Si c'est point la guigne ça, je veux bien être noyée dans le torrent (qui enfle donc pas mal ces derniers temps).
Mais essayons de prendre la vie du bon côté et récapitulons les avantages à être cloitrée à la montagne :
- j'avance les Borgia à une vitesse grand V et prenons le pari que ce soir, ce sera bouclé.
- avec toute la brume qui s'accumule depuis hier, c'est bien simple, j'aurais été en vacances dans les Alpes ET en Écosse pour le prix d'un seul billet de TGV !
- je fais des économies de déodorant depuis 2 jours vu qu'il fait à peine 10 degrés dehors et près de 15 degrés a l'intérieur.
- je ne me serais pas trimballée pulls et cols roulés pour rien dans ma valise, de même que ma paire de bottines en cuir (qui pèse bien lourd en plus de ça).
Reste toutefois que :
- c'est quand même l'angoisse de ne pas voir le versant d'en face, ça donne comme des airs de fin du monde et moi, ça m'effraie (et la nuit, ça me pousse à ré-croire aux fantômes, comme quand j'étais gamine).
- pour le peaufinage du bronzage, on repassera ... J'avais enfin la figure pas trop pâlotte depuis quelques jours mais je sens que ça décline.
- la pause clope dehors vire rapidement au shooting pour la pub Tahiti douche/Obao ou je ne sais quoi tellement il pleut ...
héééééééé c'est la loose ici ya plus rien.....
Rédigé par : lulu | mercredi 17 août 2011 à 14h55